Monday, September 28, 2009

"L'Odeur de la Papaye Verte" Critique


L’Odeur de la Papaye Vert est l’histoire d’une jeune femme vietnamienne, Mui, qui travaille comme suivante dans la maison d’une famille vietnamienne très riche et « occidentale ». La vie de Mui et celles des membres de la famille de son employeur sont contrastées fortement : Mui apporte des vêtements traditionnels, mais les enfants du maître apportent des vêtements européens. Mui regarde paisiblement des insectes, mais une scène montre un des autres enfants en train de tuer des fourmis avec la cire d’une bougie. L’autre enfant la tortue pendant son travail. Le réalisateur du film, Tran Anh Hung, choisit des images vibrantes et artistiques des plantes, des insectes, et même des tâches ménagères pour exprime la sensitivité et perception de Mui en comparaison aux autres jeunes. Mui voit la beauté dans la nature du Vietnam et dans la vie quotidienne. Elle observe le monde qui l’entoure avec émerveillement, mais les enfants riches ignorent ces cadeaux naturels.

Le réalisateur utilise aussi quelques stratégies cinématiques pour présenter au public les thèmes de contrôle et colonialisme. Particulièrement, le restreint physical de la maison représente le statut opprimé du personnage principal. Mui regarde par les fenêtres avec envie, mais les portails de la maison de son maître l’empêchent d’adhérer au monde extérieur. Aussi, on entend pendant le film des sons qui paraît être des exercices de raid aérien ou peut-être l’exécution d’un couvre-feu. De toute façon, les sons du monde extérieur servissent de souligner la captivité domestique de Mui. Aussi, ils montrent au public la construction forcé des intérieurs paisibles des maisons des riches quand la vie dehors des portails n’est pas nécessairement si parfaite. Chez le pianiste, la musique symbolise une vie hors de portée pour Mui. Le pianiste qui devient si proche d’elle est encore beaucoup plus occidental. Il lui apprend à lire et à partager sa musique européene, mais ces choses ne changent pas son statut comme étrangère dans sa société. En plus, il est peut-être important que l’homme choisit Mui à la place de sa fiancée plus indépendante et plus occidentalisée. Le jeune homme préfère la qualité douce et obéissante de la suivante plus vietnamienne, et malgré que son amour pour lui, Mui est toujours dans une position de moins de puissance.

En définitive, le message du film est celui de l’identité et de la classe sociale. Le colonialisme crée une conscience amplifiée des rapports de classes. Ces identifications suivent les gens qui sont affectés au long de leurs vies. Donc, « l’occidentalisation » de l’Orient cause des divisions de classes permanentes entre ses peuples indigènes, en dépit de leur héritage commun.

Wednesday, September 23, 2009

Ackland Art Museum Visit

  • Picturesque as an aesthetic for British depictions of India
  • Oriental engravings (French)
    • "Avec privilege du Roy"; "Conversation Chinoise"
    • God with four arms; king; emblem of sun
    • Rococo design on structures
    • Fantastical, exaggerated architecture
    • Imitation; impression of Chinese culture
    • Corn plant
    • Characters are European, aristocratic
  • "chinoiserie" = decorative style used to adorn high-end furniture and ornaments; meant to evoke the East; fashionable in 18th-century Europe and United States
  • Etching of turbaned men (1850s)
    • More realistic -- poor background
    • Different cultures, styles of dress represented, but meant to depict Ottoman Empire
    • Goal was to travel and capture "authentic" images
  • Academic Nude
    • No aspects of war, weapons, violence
    • Significantly posed in open, vulnerable stance
    • Feigned exoticism (European studio model)
    • Orientalist ideal
  • Early 20th century print (bright colors)
    • Many ethnicities
    • Spices (epitome of exotic trade) offered by women, who match their respective spices
    • Festive, exotic lighting
    • Came from upscale fashion magazine; intended to sell patterns, etc.
      • Oriental fashion en vogue
  • Cleopatra and the Peasant (Délacroix)
    • Dark/light, refined/brutish, clothed/unclothed
    • Cleopatra's dress is European, nearly Madonna-like
    • Depicts Cleopatra captured by the Romans; ready to kill herself with a snake bite
    • Cleopatra portrayed regally pale, in spotlight
      • Features, coloring, etc. similar to Délacroix's paintings of harem women
  • Five Standing Arabs
    • No background; interest is in the subjects
    • Hierarchy of men; middle is most important (oldest, tallest, different gaze)
    • Three men in middle were Arab (higher status); outside men may be Muslim, but are no Arabs (are possibly slaves)
  • Themes:
    • Depiction by European outsiders who did not see those in the East as their equals
    • Travel with goal of returning with information

Monday, September 21, 2009

Synthèse: "Une voix pour l'histoire" et "Afrique, je te plumerai"


Les deux documentaires historiques Une voix pour l’histoire (sur l’influence du poète, écrivain et homme d’Etat martiniquais Aimé Césaire) et Afrique, je te plumerai (sur les effets négatifs pour le pays de Cameroun dans une ère postcoloniale) examinent l’influence du colonialisme français sur les systèmes politiques et aussi les peuples colonisés. Malgré des différences considérables entre le Cameroun et la Martinique contemporain, il est évident que chaque localité a été touchée par les effets de la colonisation, socialement, politiquement et culturellement.

Le Cameroun contemporain souffrit d’un gouvernement corrompu, de l’extrême pauvreté, et d’une violation constante des droits de l’homme contre ses citoyens. Le documentaire se focalise sur la cité de Yaoundé, où 98% des habitants vivent dans des bidonvilles. Pour la majorité, l’instruction et le droit de participer au processus démocratique sont juste des rêves. Des étudiants malheureux se soulèvent fréquemment, mais le fort pouvoir de la Président Paul Biya (au pouvoir depuis 1982) et son parti, la Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC), répriment toujours la révolte.

Pour souligner les luttes sérieuses du peuple camerounais, le réalisateur, Jean-Marie Teno, contraste les célébrations joyeuses de l’indépendance de la France en 1960 avec les conditions horribles des citoyens d’aujourd’hui. Il décrit le sentiment de désespoir des gens du pays. La seule façon de réussir dans la vie est par l’éducation, mais pour les élèves pauvres, il est difficile d’obtenir.

En plus, la censure est un combat quotidien pour les activistes. Le film suit la situation difficile des auteurs et des éditeurs à Cameroun : auteur Célestin Monga était kidnappé pour l’écriture des compositions contre le gouvernement, et avec l’éditeur du journal La Messager était arrêté pour l’outrage criminel. Les autorités ont saisi les passeports des hommes, et le journal était suspendu. Des exemplaires du journal ont été confisqués des citoyens et des kiosques à journaux. Le réalisateur Teno lui-même a connu la censure quand il a été incapable de montrer ses documentaires sur la Télévision Nationale.

Bien que ces problèmes semblent venir d’un gouvernement corrompu, Teno pense que les problèmes sont plus profonds : ils sont le résultat de l’impérialisme, qui continue d’influencer indirectement la culture du pays. « The color of success is white, » Teno dit, « Black is still the color of despair. » Parce que la colonisation entravait la croissance culturelle, les bibliothèques en Cameroun garnirent des livres principalement européens. Ce manque d’exposition à la culture caméronienne (et un manque de développement de cette culture) conduit à des sentiments d’infériorité, et après l’indépendance, sans le soutien de la nation colonisatrice, des chefs inexpérimentés créent un gouvernement autoritaire et dictatorial.

Mais les problèmes des pays colonisés ne concernent pas que nations indépendantes, une idée explorée dans les trois films Aimé Césaire : Une voix pour l’histoire. Ce documentaire utilise des interviews avec des activistes politiques du temps pour examiner la lutte du poète et politicien Aimé Césaire en achevant un autre sens d’indépendance pour le peuple de la Martinique et pour les Noirs dans le monde entier. Césaire a estimé que la Martinique, qui jusqu’à ce jour demeure un département de la France, avait besoin de rejeter son oppression coloniale, mais pas à une révolution violente comme recommandé par son étudiant Frantz Fanon, qui expose une nation au risque d’une dictature. Césaire, avec Léopold Sédar Senghor de Sénégal et des autres philosophes de l’époque, a encouragé l’étreinte de la négritude, un mot qui « désigne en premier lieu le rejet. Le rejet de l’assimilation culturelle ; le rejet d'une certaine image du Noir paisible, incapable de construire une civilisation. Le culturel prime sur le politique » selon Césaire.


Lorsque Césaire a commencé l’école en France au début des années 1930, il s’est connecté avec d’autres étudiants noirs ainsi que des expatriés américains de Harlem, New York. Il s’agit notamment Léopold Sédar Senghor du Sénégal, Léon Gontran Damas de la Guyane, et des américains Langston Hughes, Richard Wright et Alain Locke. Avec ces hommes, Césaire est venu de comprendre le nature euro centrique de son éducation française, et aussi l’influence de cette attitude sur le peuple de la Martinique dans leur éducation et leur identité. Il s’est rendu compte que le colonialisme, qui prétend civiliser les peuples « sauvages », dans la réalité maintient le pouvoir sur eux.

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Césaire a publié le premier numéro de son journal, Tropiques, avec sa femme, Suzanne Roussi. Il a prit une position avec le Parti Communiste Française comme candidat maire de Fort-de-France, capitale de la Martinique. Après sa victoire, il a servi comme maire de la cité pendant 45 ans. Il était aussi le délégué des Martiniquais communistes à l’Assemblée Nationale Française. Césaire rejetait l’idée de l’assimilation et au lieu voulait réaliser la départementalisation pour son peuple – la fin du colonialisme, la ségrégation et le totalitarisme. Aussi, il voulait lutter contre la pauvreté – mais le changement n’était pas efficace ou assez vite.

Déçu par les systèmes négatifs de pouvoir de l’Union Soviétique, Césaire a démissionné du Parti Communiste en 1956, inspirant des autres membres de quitter le parti aussi. Il a fondé le Parti Progressif Martiniquais avec une politique d’autonomie et a continué à écrire au sujet de la négritude. Négritude était un sentiment de solidarité noire utilisée pour combattre le racisme coloniale qui se manifestait dans l’infériorité des colonisés. Ces idées étaient censurées par le gouvernement français, et à ce jour il ignore l’influence d’un grand nombre des œuvres poétiques de Césaire. Mais Césaire a affirmé que le poète est un créateur et son œuvre peut inspirer un véritable changement pour toute l’humanité. « Our negritude is a form of Humanism. Our negritude has a place in history » il dit.

Les deux films ont montré que le colonialisme a des effets durables sur tous les aspects de la culture et l’identité nationale, peu importe si le pays a obtenu son indépendance ou s’il est encore tributaire de son colonisateur. En dépit de tentatives violentes, stimulantes et artistiques pour créer le changement dans les pays colonisés, l’héritage de l’oppression entrave toujours le développement national.

Friday, September 11, 2009

Thursday, September 10, 2009

Commentaire sur le Musée du Quai Branly



Le site du Musée du Quai Branly, « là où dialoguent les cultures », est attrayant en couleurs vives, avec des expositions en ligne ainsi que des pages de beaux objets du catalogue du musée. Du Vietnam, il y a des bijoux en argent et des robes richement colorées. Des autres pays, il y a des sculptures, de la poterie, et des autres attractions. Le musée peint un portrait riche des cultures du monde, mais il n’adresse pas à l’influence notablement négative de la France pendant la colonisation sur la plupart des pays représentés par les expositions. L’approche du musée, de mettre en valeur ce qui est beau et d’ignorer le passé sombre, est représentatif des transactions typiques de la France avec ses histoires controversées.

Tuesday, September 8, 2009

Le Mémorial des Guerres en Indochine

Ce mémorial est troublant à cause d’une absence très considérable : les vies interrompues et les décès prématurés des milliers de civils en Indochine sont totalement ignorés. La partie du site dédiée à l’histoire des guerres français en Indochine ne mentionne pas la lutte de l’opposition contre l’oppression coloniale. Au lieu de ça, il commémoré seulement les expériences des soldats français alors qu’ils tentaient à garder le contrôle du territoire, qui est décrit comme menacé par des communistes et des guérilleros. En actualité, ces « communistes » étaient des vietnamiens natifs, combattant pour l’indépendance méritée.

Le Mémorial des Guerres en Indochine << lien ! cliquez !

Monday, September 7, 2009

« La Vénus Hottentote »


L’histoire de la « Vénus hottentote » est choquante et attristante les deux. Le fait que cette femme était exploitée et défilée à travers la France est bouleversant, mais la chose qui me frappe le plus, c’est la nature exclusivement factuelle de cet article, un effet de la nature impersonnelle de sa captivité. La manque d’information disponible sur sa personnalité, ses buts et ses désirs montre qu’elle était juste une exposition aux français qui l’ont baptisé et l’ont adopté pour assouvir leur curiosité.

La Vénus Hottentote: sur les pensées raciales << lien--cliquez ici!

Résumé de l’article microfilm

L’article que j’ai lu, intitulé « Congres international d'histoire des relations culturelles entre l'occident et l'orient » vient du Bulletin de la Société des Etudes Indochinoises. Il a été publié en novembre 1957, lors d’un moment de la tension extrême entre la France et le Vietnam. La guérilla existait dans de nombreux territoires vietnamiens et de nombreuses vies ont été perdues. Toutefois, la conférence que cet article relate ne s’intéressait pas à la guerre (le Bulletin lui-même semble d’avoir pour but l’égard d’une classe scolaire – il est probable qu’ils étaient indifférents à la détresse des gens communs). La réunion de l’UNESCO, tenue à Tokyo, avait comme résultat une étreinte du partage culturel. « Deux résolutions furent adoptées, l’une invitant l’UNESCO à encourager la création d’un comité international de traduction en vue de faciliter la diffusion des meilleures œuvres littéraires, philosophiques, scientifiques et culturelles » l’article dit. Selon moi, ces résolutions sont des idées positives, mais ils semblent aussi d’ignorer les problèmes beaucoup plus graves de l’époque. L’article reflète la négation des français de leur rôle sérieux dans l’impérialisme.

Thursday, September 3, 2009

"Les Zoos Humains" -- résumé de l’article et quelques phrases importantes

« Ces zoo humains de la République coloniale », publié par Le Monde Diplomatique en août 2000, décrit la pratique des européens pendant l’ère du colonialisme d’exposer les cultures exotiques avec des expositions des animaux et des gens indigènes les deux. Milliers de gens ont payé pour voir les humains dans leurs « habitats naturels » - des spectacles racistes et exagérés, à coté des exhibitions de l’art avant-garde et la Tour Eiffel ! L’article sur cette pratique choquante souligne des attitudes de prédominance des français au-dessus leurs sujets coloniales.

Voici quelques exemples du texte qui montrent les perspectives racistes des français :

  1. Des citations de l’annonce de l’exposition - On décrit l’exposition comme « spectacle ethnologique » et décrit le spectacle : une « bande d’animaux exotiques, accompagnés par des individus non moins singuliers » . (Les humains sont comparés aux animaux exotiques ; ils sont traités comme des animaux leurs-mêmes !)
  2. « Qu’il soit peuple « étrange » venu de tous les coins du monde ou indigène de l’Empire, il constitue, pour la grande majorité des métropolitains, le premier contact avec l’altérité. »
  3. « Le vocabulaire de stigmatisation de la sauvagerie - bestialité, goût du sang, fétichisme obscurantiste, bêtise atavique - est renforcé par une production iconographique d’une violence inouïe, accréditant l’idée d’une sous-humanité stagnante, humanité des confins coloniaux, à la frontière de l’humanité et de l’animalité. » (cette sélection souligne les idées exagérés des français de l’exotisme des colonies – ils ont vu leurs colons comme sauvages, et les idées dramatiques de la bestialité et des autres pratiques apparemment barbares ont les aidés de justifier leur domination forcée)